Bonjour à vous,

J’espère que vous allez bien,

De mon côté, tout va bien, je termine cette newsletter en soirée car la fin d’année est toujours remplie !

Mardi dernier, je formais la Radio Télévision Suisse avec des journalistes qui posent des questions toujours aussi pointues. J’adore car cela me pousse à prendre position, gagner en profondeur sur cette révolution de l’IA 😃 

Mercredi, j’ai endossé le costume de consultant pour 6 entretiens d’1h auprès d’une organisation dans la santé et le social. Avec Rémi, notre but est de détecter les plus belles opportunités IA en termes de gain de temps.

Enfin, jeudi, j’ai finalisé un accompagnement de 3 demi-journées avec un grand groupe hôtelier !

ET ce n’est pas TOUT.

J’ai aussi bien travaillé avec Rémi pour améliorer notre site web suisse : maijin.ch.

Nous avons :

• Détaillé nos services plus en détail

• Ajouté des étude de cas clients

• Développé nos différents parcours métier.

Vous pouvez notamment examiner notre parcours IA pour les professionnels du marketing ici : https://maijin.ch/parcours/marketing

Maintenant, place au programme de la semaine !

C’est parti !

Excellente journée,

Jean-Baptiste.

Nouveautés de la semaine

• Google sort son outil de vibe-coding dans l’AI Studio : https://aistudio.google.com/apps. C’est une sorte de Lovable, gratuit pour l’instant. Par exemple, la landing page que j’ai créée.

• NotebookLM se développe encore et toujours avec l’introduction de la recherche approfondie. L’outil dissident de chez Google devient le favori de tous ceux qui veulent apprendre une nouvelle discipline.

• Insight intéressant : parmi les premiers modèles les plus efficaces que j'ai observés pour la restructuration des organisations face à l'IA, on trouve la constitution de petites équipes pluridisciplinaires et autonomes (par exemple, un ingénieur senior, un expert métier et un excellent chef de produit) que l'on laisse expérimenter et développer rapidement des solutions utiles.

• Vous ne trouvez pas comment utiliser l’IA pour vos tâches métiers ? Rendez-vous chez Claude qui dévoile une super-ressource avec tous les cas d’usages par métier. Du pain béni.

Open-source VS closed Source

OpenAI sort GPT-5.1

Il s’agit d’une évolution des modèles GPT-5 avec deux déclinaisons : GPT-5.1 Instant, c’est le modèle qui vous parle comme un bon pote ultra-compétent : plus chaleureux, plus précis, et utile au quotidien. GPT-5.1 Thinking, lui, pousse le raisonnement un cran plus loin, en ralentissant quand il faut, et en accélérant quand c’est juste une question simple. D’après mes tests, ce GPT-5.1 thinking utilise moins de jargon et rend plus accessible les réponses. Parfois, je ne comprenais pas ce que son prédécesseur voulait dire.

OpenAI a aussi ajouté des options de personnalisation avec 7 personnalités :

• Default : celui que vous connaissez déjà avec ChatGPT.

• Professional : sonne comme un collègue.

• Friendly : sonne comme un ami. Étonnamment clair aussi.

• Candid : Pas vraiment “candid” pour être honnête. Meilleur que “professional” selon Ruben Hassid.

• Quirky : pas très drôle

• Efficient : infos véridiques et claires.

• Nerdy : un peu poétique

• Cynical : Assez unique. A utiliser pour s’amuser pour l’écriture créative.

Il vous suffit d’aller dans personnalisation.

Je suis plutôt satisfait de cette mise à jour. Et vous ?

OpenAI sort des “Group Chats” 

OpenAI a attaqué Google en tant que moteur de recherche, il attaque instagram tiktok avec son réseau social Sora, maintenant, la firme de San Francisco attaque les applications de messagerie avec un concept radicalement différent.

Group Chat n’est pas une messagerie pour chatter entre humains, cette fonctionnalité permet d’avoir une conversation partagée avec ChatGPT. Plusieurs personnes peuvent collaborer ensemble avec l’IA en même temps dans un contexte unique.

En gros : vous allez créer une conversation ChatGPT et vous pourrez organiser un voyage avec vos amis, créer un documents avec vos collègues en temps réel.

En milieu pro, vous pourrez partager des fichiers, images, notes et laisser ChatGPT les analyser pour tout le groupe, avoir des réponses contextualisées pour tout le monde, garder une trace commune plutôt que chacun copier-coller dans son coin.

Le pilote démarre dans 4 pays :

• Japon

• Nouvelle-Zélande

• Corée du Sud

• Taïwan

A vos VPNs (ça marche).

Et ce n’est que le début.

“Les discussions de groupe ne sont que le début de la transformation de ChatGPT en un espace collaboratif partagé. À mesure que ChatGPT deviendra un meilleur partenaire dans les conversations à plusieurs, il vous aidera à faire émerger des idées, prendre des décisions et exprimer votre créativité avec les personnes qui comptent dans votre vie.” OpenAI.

10 chiffres sur le rapport McKinsey sur l’IA générative

Source : https://www.mckinsey.com/capabilities/quantumblack/our-insights/the-state-of-ai

McKinsey vient de publier son rapport sur l'IA pour 2025.

Voici un résumé :

1/ 90 % des entreprises « utilisent l'IA », mais 67 % en sont encore à la phase pilote. Le théâtre de l'IA en entreprise est bel et bien vivant !

2/ 62 % des organisations expérimentent des agents d'IA, tandis que 23 % les déploient à grande échelle. La plupart opèrent dans les secteurs de la technologie et de la santé.

3/ L'écart d'impact est considérable. 64 % affirment que l'IA favorise l'innovation, mais seulement 39 % constatent de réels gains en EBIT.

4/ Les plus performants (les 6 premiers %) voient plus grand. Ils repensent leurs flux de travail, fixent des objectifs de croissance et investissent de véritables budgets, et pas seulement des POC.

5/ Les dirigeants qui possèdent personnellement des systèmes d'IA ont trois fois plus de chances de les déployer à grande échelle. Logique.

6/ Les gagnants utilisent l'IA pour transformer la façon dont le travail est effectué, et non pas seulement pour l'accélérer.

7/ Les entreprises moyennes mesurent l'efficacité. Les meilleures mesurent la rapidité d'exécution de leurs agents.

8/ La gestion des risques rattrape son retard, 51 % ayant déjà constaté les effets néfastes de l'IA, principalement dus à son imprécision.

9/ L'impact sur l'emploi est incertain. 32 % anticipent des réductions d'effectifs, 13 % prévoient une croissance, les autres sont dans le flou.

10/ L'adoption de l'IA est généralisée, mais la véritable transformation n'a pas encore commencé. Nous n'en sommes qu'aux prémices.

Mon avis : avec mon expérience terrain, je peux confirmer que si le CODIR ne sait pas comment utiliser l’IA et n’aime pas utiliser l’IA, alors le déploiement à l’échelle est bloqué.

Aussi, parfois, il faut repenser totalement le processus. Par exemple, faire une présentation avec Gamma prendra moins de temps et sera souvent davantage appréciée. Et pourtant, par résistance en changement (c’est normal), beaucoup ne changeront pas de manière de travailler tout de suite.

Enfin, peut être quelque chose de non mentionné dans cette étude : pourquoi toujours parler de gain de temps ? Parfois, l’IA peut amener de la personnalisation bienvenue dans des documents RH, particulièrement les certificats de travail suisse qui sont souvent des copiés collés de template.

Il est désormais rare qu’un de mes apprenants n'ait pas testé un chatbot conversationnel. Par contre, j’ai rarement vu une entreprise qui a mis en place un outil IA au delà de la preuve de concept. Nous nous déplaçons d’un marché de la formation à un marché du consulting où les entreprises auront besoin de maîtrise d’ouvrage. Chez Maijin, nous avons d’ailleurs de plus en plus de demandes de consulting.

L’outil de la semaine : Opal de Google 

Google Opal est un outil no-code mis au point par Google Labs, qui permet à quiconque, même sans expérience de programmation, de créer de petites applications d’IA (des « mini-apps ») en utilisant simplement des phrases en langage naturel.

L’idée est la suivante : vous décrivez ce que vous voulez que l’application fasse, par exemple : “prends les données d’un texte et génère un rapport”, et Opal traduit automatiquement cette description en une sorte de schéma visuel (flux de travail) composé d’étapes (entrée utilisateur → appel modèle IA → sortie).

Cet outil fait partie de la grande vague des outils qui vise à démocratiser le no code et le code en général avec l’IA générative.

Julie a utilisé ChatGPT pour un choix de vie. Faut-il lui jeter la pierre ?

Depuis quelques jours, l’histoire tourne partout : une Américaine, Julie Neis, en burn-out après une carrière dans la tech, demande à ChatGPT où déménager. L’IA lui propose plusieurs villes, elle finit par s’installer à Uzès, dans le sud de la France. Six mois plus tard, elle raconte sa nouvelle vie plus lente, ses ruelles médiévales et sa “paix retrouvée”.

Et là, Internet se divise :
« C’est complètement irresponsable de laisser une IA choisir votre vie. »

« Franchement, moi aussi je demande déjà plein de conseils de vie à l’IA. »

Ce qui m’intéresse, ce n’est pas de juger Julie.
C’est la manière dont l’histoire est racontée : comme si elle avait vraiment dit “OK, IA, décide de mon destin” et obéi sans réfléchir.

En réalité, on sait qu’elle a discuté avec ses amis, sa famille. Peut être même avecd’éventuels coachs ou thérapeutes. Mais dans un monde qui adore les récits extrêmes, les médias ont retenu l’angle le plus clivant : “Elle a laissé ChatGPT décider de sa vie.”

Le vrai sujet, pour moi, c’est :

Comment utiliser une IA dans vos choix de vie sans lui donner les clés de la maison ?

L’IA n’est pas un gourou : c’est une machine à scénarios probables

Petit rappel qu’on oublie très vite : ChatGPT n’est pas un coach, ni un psy, ni une conscience. C’est un produit grand public avec des tas de fonctionnalités et de modèles d’IA. Pour se faire conseiller, Julie a utilisé le modèle de langage de ChatGPT qui apprend à prédire le prochain mot le plus probable à partir de milliards de textes.

Concrètement, ça veut dire :
• Il ne “sait” pas ce qu’il dit.
• Il ne “voit” pas votre vie.
• Il génère des réponses plausibles, pas forcément vraies, ni justes, ni alignées avec votre boussole interne.

Et surtout :
• Il vous donne une perspective à la fois, souvent très cohérente, donc très séduisante.
• Il est optimisé pour que vous vous disiez : “Super réponse, merci, je reviendrai”.

Autrement dit : il est légèrement complaisant par design, car les modèles sont ajustés pour maximiser la satisfaction perçue des utilisateurs…

Ajoutez à ça un point clé :

Si vous n’êtes pas original dans votre question, l’IA ne sera pas originale dans sa réponse.

Si vous lui dites juste :

“Je veux un job qui a du sens” ou “Je veux être plus épanoui”

… vous allez recevoir une réponse ultra standard, très “influenceur-lifestyle”. Parce que par défaut, un modèle probabiliste renforce la norme. Il reproduit ce qui ressemble à ce qui existe déjà.

C’est pour ça que, pour moi, l’IA seule, sans contradiction humaine, n’est pas une bonne idée.
Par contre, l’IA comme machine à scénarios, au milieu d’autres voix (amis, collègues, mentors…), là, ça devient intéressant.

Comment je me sers vraiment de l’IA : les trois scénarios

Je vais vous donner un exemple concret de la façon dont je l’utilise pour mes choix de vie pro (sans rentrer dans le détail de ma vie privée).

Un jour, je me suis posé une question très simple et très inconfortable :

“Si je continue exactement comme aujourd’hui, où est-ce que j’atterris dans deux ou trois ans ?”

J’ai donné à l’IA un contexte assez riche :
• mon activité de consultant / formateur en IA générative,
• mes types de clients,
• mon rythme de travail,
• mes contraintes familiales,
• ce qui me nourrit, ce qui m’irrite,
• ce qui compte vraiment pour moi (santé, temps, créativité, sécurité financière…).

Puis je lui ai demandé quelque chose comme :

Sur la base de ce contexte, écrivez-moi trois scénarios à 2 ans :
– un scénario du pire,
– un scénario optimiste,
– un scénario le plus probable.
Pour chaque scénario, décrivez mon énergie, ma santé, mes émotions, mes finances, mes relations.

Évidemment, l’IA ne prédit pas l’avenir.
Mais elle m’oblige à regarder en face des trajectoires que j’esquive mentalement.

Ensuite, j’ai enchaîné :

Dans le scénario du pire, donnez-moi des actions concrètes pour l’éviter.

Dans le scénario optimiste, donnez-moi des actions concrètes pour m’en approcher.

Et là, il se passe un truc intéressant :
• ce ne sont pas des “ordres”,
• ce ne sont pas des révélations mystiques…

…mais ce sont des pistes structurées que je peux ensuite confronter à la réalité :
• Qu’est-ce que je trouve juste ?
• Qu’est-ce qui sonne complètement à côté de la plaque ?
• Qu’est-ce qui me met mal à l’aise (souvent un bon signal) ?

Au final, je n’ai pas “obéi” à l’IA.
J’ai pris un peu du plan anti-pire, un peu du plan pro-optimiste,
et j’en ai fait un mix réaliste, à ma sauce.

L’IA, là-dedans, a servi :
• de miroir,
• de générateur de scénarios,
• de structure de pensée.

Mais la décision est restée à sa place : chez moi.

Remède et poison : IA, solitude et récits médiatiques

Il y a un autre élément important dans cette histoire : le contexte.

On vit dans un monde où la solitude augmente, y compris chez les cadres, les managers, les dirigeants. La fondation de France le dit : “12% de la population est en situation d’isolement objectif, tandis qu’1 Français sur 4 affirme se sentir seul". Les chiffres doivent être proches en Suisse. Pour beaucoup de personnes, surtout celles qui n’osent pas déranger leurs amis, leurs collègues ou leur hiérarchie, l’IA devient parfois la seule “oreille” disponible à 23h.

Dans ce sens, l’IA est à la fois :
• un symptôme (on ne se parle plus assez entre humains),
• et un remède partiel (on peut déposer des choses, réfléchir, mettre des mots, sans se sentir jugé).

Le risque, évidemment, c’est de glisser vers :

“Je parle plus facilement à l’IA qu’à mes proches.”

Mais encore une fois : l’histoire de Julie ne prouve pas ça. Rien ne dit qu’elle n’a pas longuement parlé à sa famille, à ses amis, à des pros. Les articles insistent surtout sur la punchline : “Elle a laissé ChatGPT choisir pour elle.”

On est dans un monde très polarisé, où :
• soit on idolâtre l’IA (“révolution magique, elle sait tout”),
• soit on la diabolise (“c’est dangereux, les gens sont débiles de lui faire confiance”).

Moi, je crois qu’il y a une autre voie, moins spectaculaire :

utiliser l’IA comme un outil de réflexion, sans lui déléguer la responsabilité de vos choix

Et vous, que faites-vous après avoir lu cette histoire ?

Plutôt que de se moquer de Julie ou de débattre en théorie, je trouve plus honnête d’expérimenter vous-même.

Si vous êtes DRH, manager, dirigeant, ou simplement humain avec une vie un peu complexe, voilà ce que je vous invite à faire :

1. Choisissez un truc qui vous irrite dans votre vie pro ou perso.
   Pas “ma vie en général”.
   Un irritant concret : un type de réunion, un client, une mission, un trajet, une situation récurrente.

2. Expliquez votre contexte à l’IA.
   Qui vous êtes, ce que vous faites, pourquoi ça vous irrite, ce que vous aimeriez à la place, et vos contraintes non négociables.

3. Demandez-lui de raisonner avec vous, pas de décider pour vous.
   Par exemple :
   • “Posez-moi des questions pour clarifier ce qui est vraiment en jeu pour moi.”
   • “Faites-moi un scénario du pire si je ne change rien, puis un scénario optimiste, et proposez des pistes concrètes pour éviter l’un et me rapprocher de l’autre.”

4. Confrontez ensuite ça avec un humain.
   Un ami, un collègue, votre N+1, quelqu’un en qui vous avez confiance :
   “Voilà ce que l’IA m’a proposé. Vous, vous en pensez quoi ? Qu’est-ce que vous validez, qu’est-ce que vous rejetez ?”

Vous verrez vite où l’IA vous aide vraiment et où elle raconte n’importe quoi.
Et surtout, vous passerez de :

“J’ai une opinion théorique sur Julie”

à :

“J’ai une expérience concrète de ce que ça fait de discuter de ma vie avec une IA.”

Sans doute que votre opinion mesurée ne vous fera pas faire le buzz sur Linkedin.
Mais dans un monde qui adore les positions radicales, prendre le temps de tester, nuancer, et garder la décision du côté humain, c’est déjà un geste assez subversif.

Belle journée,

JB

La notion de la semaine - Agent IA de cybersécurité

Fait surprenant de la semaine - La vraie histoire de Julie

Il y a une drôle d’histoire qui s’est faufilée sur notre site, et que nous partageons avec vous : la curieuse décision d’une femme américaine en burn-out de demander à une intelligence artificielle où poursuivre sa vie. Réponse : à Uzès, dans le sud de la France. C’est la chaîne américaine CNN qui raconte le périple de Julie Neis, qui a troqué le Golden Gate de San Francisco pour les “ruelles et l’architecture médiévale” de la cité du Gard.

“Après avoir résumé l’histoire de sa vie – ses valeurs et ses aspirations, notamment un mode de vie plus tranquille, un climat tempéré, des marchés et une population chaleureuse”, l’intelligence artificielle lui a proposé deux destinations : Sarlat-la-Canéda, en Dordogne, et Uzès, dans le Gard. “Encore hésitante, elle a demandé à ChatGPT de trancher”, ajoute la chaîne américaine.

La première proposition étant plus isolée géographiquement, l’agent conversationnel lui a suggéré la seconde.

Voilà six mois qu’elle y vit. Et rien ne laisse supposer qu’elle pliera bagage bientôt. Le procédé paraît certes risqué, concède CNN, mais pour la première intéressée,“l’intelligence artificielle a bien choisi”. Voilà de quoi alimenter votre débat philo dominical, que vous soyez amateur ou non d’Uzès.

Source : https://www.courrierinternational.com/article/intelligence-artificielle-sur-les-conseils-de-chatgpt-cette-americaine-demenage-dans-un-village-du-sud-de-la-france_236907

Le prompt de la semaine - Cold DM sur Linkedin

Tu es un maître rédacteur de scripts de closing.
A partir du nom de la cible, de son rôle, d’une phrase décrivant son entreprise et de ma proposition de valeur en une phrase, écris un DM à froid LinkedIn en 3 lignes qui obtient une réponse.

Ligne 1 : capter l’attention avec un détail unique que seul un vrai chercheur remarquerait.

Ligne 2 : une phrase de proposition de valeur liée à leur métrique la plus probable.

Ligne 3 : une micro-demande sans engagement qui implique une légère urgence.

Ensuite, fournis trois variations selon le ton : direct, curieux et déférent.
 Termine par un follow-up en 2 lignes à envoyer si pas de réponse après 48h.

How To - Transformer une réunion Teams en synthèse actionnable

Etape 1 : Enregistrer sur Teams 


Etape 2 : Télécharger la transcription

Attention : seul l’organisateur peut télécharger le transcript de la réunion.

Etape 3 : Rajouter la transcription dans ChatGPT/Claude/Copilot avec le prompt suivant :

<Agis comme un secrétaire de direction efficace.

Voici l'enregistrement de la réunion à analyser :

<<< INSÉRER ICI LE TEXTE / TRANSCRIPTION DE LA RÉUNION >>>

Ta mission :transforme cet enregistrement en un compte rendu structuré comprenant :

1) Participants + date de la réunion

2) Points abordés, classés par ordre d’importance

3) Décisions prises, avec les responsables clairement assignés

4) Actions à mener, avec deadline + responsable (si non précisé, propose une attribution logique)

5) Points en suspens nécessitant un suivi

6) Toutes les versions proposées pour la reconfiguration et le design des chambres (présente-les clairement sous forme de liste distincte)

Contraintes de format :

- Utilise un “format scannabl”e, avec titres clairs.

- Présente les éléments en bullet point*.

- Ajoute des codes couleur suggérés :

- 🔴 Urgent

- 🟠 Important

- 🟡 Suivi

- Reformule pour obtenir un compte rendu professionnel, neutre et synthétique.

- Ne pas inventer d’informations : s’appuyer uniquement sur l’enregistrement.

Objectif : produire un document exploitable immédiatement par une équipe de direction.>

Etape 4 : Demander le word à votre chatbot préféré et le télécharger

BONUS : Etape 5 : rendez-vous dans gamma.app, coller le texte et produire un document récapitulatif d’une page très visuel.

L’image de la semaine - Anthropomorphisme

A cute anthropomorphic [subject] in triple view: front-left, front, and back. Standing upright with a plump body, expressive face, and wearing [clothing/style]. Cartoon mascot in 2D animation style, clean bold lines, flat shading with subtle gradients, soft outlines, and a light neutral background

Merci pour la lecture de cette édition,

Excellente journée,

Jean-Baptiste.